Notre analyse se réfère à la crise sociale et politique en Allemagne nazie concernant le succès de la propagande nazie. Il est novateur et contredit la théorie marxiste reflétée dans les siècles précédents. Le fondement du fascisme est l’une de ses incarnations les plus réussies, avec le libéralisme, de sorte qu’un Führer est inscrit dans l’histoire de l’ensemble de la société occidentale, de tous les peuples qui appartiennent à cette société. Le caractère unique du fascisme fait partie d’un processus. Le Reich place les masses face à face avec leurs responsabilités et dans les couches petites-bourgeoises allemandes unies à l’idéologie dominante de la classe bourgeoise, en totale contradiction avec leur situation économique insatisfaisante. La foule craignait la liberté et préférait la docilité et la répression instinctive, bien connues à sa sortie. La seule entité qui a rendu possible l’assemblée des membres de la petite bourgeoisie était la propriété individuelle défendue par l’institution familiale autoritaire. Le fascisme a également conquis la classe prolétarienne en raison de sa gentrification progressiste, idéologique et parfois matérielle. Les nationaux-socialistes ont repris tout soutien révolutionnaire symbolique et ont transmis leur programme réactionnaire. Le fascisme n’a pas endoctriné les masses, mais seulement les mystiques et a amené le fascisme au pouvoir. L’erreur des communistes a été de faire appel à leur raison au lieu d’essayer de comprendre les processus psychologiques en jeu chez l’homme mystique. Les masses n’ont assumé aucune responsabilité, elles ont abandonné les contours de toute base structurelle et idéologique indispensable à un mouvement véritablement universel. Le mouvement socialiste international s’est scindé en de nombreux petits mouvements nationaux, ce qui a accru la puissance du fascisme allemand et italien vers une internationalisation fulgurante.