Le scanner dans les pathologies aortiques, de la valve au syndrome aortique aigu en passant par les anévrysmes et les vascularites
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Patologia sistemului circulator, a vaselor sanguine. Tulburări cardiovasculare (1025)
SM ISO690:2012
LAISSY, Jean-Pierre. Le scanner dans les pathologies aortiques, de la valve au syndrome aortique aigu en passant par les anévrysmes et les vascularites. In: Moldovan Medical Journal, 2018, nr. 61(S_RMI), p. 71. ISSN 2537-6373.
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Moldovan Medical Journal
Numărul 61(S_RMI) / 2018 / ISSN 2537-6373 /ISSNe 2537-6381

Le scanner dans les pathologies aortiques, de la valve au syndrome aortique aigu en passant par les anévrysmes et les vascularites

CZU: 616.12-073.7

Pag. 71-71

Laissy Jean-Pierre
 
Université Paris Diderot
 
 
Disponibil în IBN: 20 mai 2024


Rezumat

Introduction: L’aorte est menacée de plusieurs processus pathologiques, la plupart pouvant se localiser à n’importe quel niveau de l’aorte. Les plus fréquents sont l’athérome (et ses complications emboliques), les anévrismes et les dissections. Plus rarement sont observés au niveau thoracique les ulcères aortiques et les hématomes pariétaux, les atteintes inflammatoires au cours des vascularites (Artérite à cellules géantes, Takayasu, Behcet) sans oublier les ruptures traumatiques de l’isthme. La valve aortique est également menacée par les rétrécissements notamment dans le cadre de l’athérome, et beaucoup plus rarement par des localisations infectieuses d’endocardite. Contenu: Le scanner et l’IRM, grâce à leurs performances sans cesse en progression, sont devenus incontournables pour le diagnostic des maladies de l’aorte, le planning préopératoire et le suivi. Le rôle de chacune de ces modalités avec leurs avantages et limites respectifs, sont à bien connaitre pour assurer la prise en charge la plus adaptée. De nombreuses recommandations européennes et américaines aident de surcroît à établir les meilleures stratégies diagnostiques. Conclusions: Techniquement, l’idéal est d’examiner l’aorte sur toute sa hauteur, depuis l’origine des troncs supra-aortiques jusqu’aux artères fémorales. Les nouveaux scanners parviennent à couvrir ce champ en une seule apnée. En IRM, la couverture est limitée à 50 cm ce qui conduit soit à privilégier un segment aortique par rapport à l’autre, soit à faire 2 centrages successifs et 2 injections de produit de contraste à condition de s’être assuré que la fonction rénale est normale.

Cuvinte-cheie
le scanner dans les pathologies aortiques, syndrome aortique aigu, imagerie cardiovasculaire