L’empreinte sociale du féminin et le langage maternel
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SM ISO690:2012
POPA, Doina Mihaela. L’empreinte sociale du féminin et le langage maternel. In: Perspectivele dezvoltării durabile a spaţiului rural în contextul noilor provocări economice, 14 septembrie 2018, Chişinău. Chișinău, Republica Moldova: Universitatea Agrară de Stat din Moldova, 2018, Vol.50, pp. 423-427. ISBN 978-9975-64-299-6.
EXPORT metadate:
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Crossref
CERIF

DataCite
Dublin Core
Perspectivele dezvoltării durabile a spaţiului rural în contextul noilor provocări economice
Vol.50, 2018
Conferința "Perspectivele dezvoltării durabile a spaţiului rural în contextul noilor provocări economice"
Chişinău, Moldova, 14 septembrie 2018

L’empreinte sociale du féminin et le langage maternel

CZU: 396:316.663:159.922.1

Pag. 423-427

Popa Doina Mihaela
 
Universitatea Tehnica „Gheorghe Asachi“, Iaşi
 
 
Disponibil în IBN: 12 noiembrie 2019


Rezumat

Le Langage est le véhicule idéal de la structuration symbolique identitaire; le discours féminin prolonge, in absentia, le contact corporel aboli: mère/enfant. C’est le langage „maternel” que les femmes utilisent pour socialiser l’enfant, mais ce sont toujours elles qui facilitent, au cadre d’une société patriarchale, la dissymétrie masculin/féminin. L’imaginaire de la féminité dans les mythes et les contes relève les avatars du désir masculin, tout en mettant le féminin et la féminité dans la posture la plus indésirable à l’intérieur du triangle: Sauveur /Bourreau /Victime. Paradoxalement, le conte de fées met en scène surtout des héroïnes, mais, à la fois, il rend marginal le personnage féminin, prix final des pérégrinations du Prince Charmant. La femme revêtit, dans le conte de fées, les visages de tous les péchers capitaux, de la curiosité (Petit Chaperon Rouge, Cendrillon, Barbe Bleue etc) jusqu’à l’infanticide (Blanche comme Neige, Les Cygnes sauvages etc.).

Cuvinte-cheie
communication intra-générique, conte de fées, identité symbolique, relation interpersonnelle