Interculturalité et exil - les couleurs de la France aux yeux des peintres roumains aux XIXe et XXe siècles: Nicolae Grigorescu et Theodor Pallady
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GĂLĂŢANU, Daniel. Interculturalité et exil - les couleurs de la France aux yeux des peintres roumains aux XIXe et XXe siècles: Nicolae Grigorescu et Theodor Pallady. In: La Francopolyphonie, 2015, nr. 1(10), pp. 215-224. ISSN 1857-1883.
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La Francopolyphonie
Numărul 1(10) / 2015 / ISSN 1857-1883

Interculturalité et exil - les couleurs de la France aux yeux des peintres roumains aux XIXe et XXe siècles: Nicolae Grigorescu et Theodor Pallady
CZU: 75.036sec."XIX-XX"

Pag. 215-224

Gălăţanu Daniel
 
Université "Dunarea de Jos" de Galati
 
 
Disponibil în IBN: 27 ianuarie 2016


Rezumat

Cet article « civilisationiste » et interculturel est censé faire connaître à tous les francophones, les liens culturels du peuple roumain et de son intelligentsia avec la rayonnante culture française des XIXe et XXe siècles. Ainsi nous avons choisi pour notre étude deux des plus grands peintres roumains, les deux formés en France, l’un au XIXe siècle, l’autre au XXe, les « phares » de notre peinture nationale : Nicolae Grigorescu et Theodor Pallady. Le choix du mélange des cultures comme thème central de l’étude est intimement lié à celui de l’exil, mais également à celui de l’interprétation herméneutique de l’oeuvre artistique proprement-dite. Nous insistons sur l’idée qu’un nombre important d’artistes roumains se sont affirmés et ont connu la célébrité au sein de la culture française. Tout cela est valable pour le XIXe siècle : le peintre Grigorescu (l’école de Barbizon), les poètes Anne de Noailles, Iulia Hasdeu etc., mais surtout pour le XXe siècle, où la tendance est encore plus évidente. Au delà de la peinture de Pallady et de la musique de Georges Enesco, par exemple, il suffit de mentionner la littérature roumaine de « l’exil » et d’expression française qui arrive souvent à se confondre avec la grande littérature française, car bon nombre de gens cultivés du monde entier prennent Panait Istrati, Mircea Eliade, Emil Cioran et surtout Eugène Ionesco, pour des écrivains français.

This “civilisationiste” article aims to make known to all the francophone people, the cultural bonds of the Rumanian people and its intelligentsia with the radiant French culture of the 19th and 20th centuries. That’s why we chose for our study two of the Rumanian great painters, both educated in France, one in the 19th century, the other in the 20th, the “headlights” of our national painting: Nicolae Grigorescu and Theodor Pallady. The choice of the mixture of the cultures as the main topic of the study is closely related to the topic of the exile, but also with that one of the hermeneutic interpretation. We insist on the idea that a significant number of Rumanian artists knew the celebrity within the French culture. All that is obvious for the XIXth century: the painter Grigorescu (the school of Barbizon), the poets Anne de Noailles, Iulia Hasdeu etc, but especially for the XXth century, where the tendency is even more obvious. Beyond the art of Pallady and the music of George Enesco, for example, it is enough to mention the Rumanian literature of “the exile” and French expression which is often mistaken for the great French literature, because considerable cultivated people of the whole world take Panait Istrati, Mircea Eliade, Emil Cioran and especially Eugene Ionesco, for French writers.

Cuvinte-cheie
Interculturalité,

herméneutique, centrum mundi culturel, Ecole de Barbizon, Nicolae Grigorescu et Theodor Pallady,

exil