L'auteur de l'article examine la corrélation entre la structure de l'État et sa culture politique à l'exemple du transit moldave démocratique. Il argumente la thèse sur la nécessité de la conformité entre la structure politique et la culture politique pour le fonctionnement fructueux des instituts démocratiques. Pendant qu'au régime étatique démocratique selon la classification de G.Almond et S.Verba correspond la culture de la participation, dans la République de Moldova selon l'opinion de l'auteur de l'article fonctionne la culture politique du type mélangé, à savoir paroissiale-participative. L'analyse rétrospective du devenir de la structure de l'État moldave a révélé qu'en train du changement du régime politique la culture existant politique qui était formée au cours des siècles quelque temps ne correspond pas au nouveau système politique. Ce fait se confirme par l'exemple de la Moldova soviétique à partir de 1940 et démocratique de la fin de 80 années, quand les changements de la culture politique au niveau des masses ne mûrissaient pas après les changements de la culture politique de l'élite en contexte du transit politique. Notamment en contradiction du type existant de la culture politique au nouveau régime l'auteur voit une principale raison du devenir pas tout à fait réussi de la structure de l'État moldave. Seulement la combinaison des efforts des institutions d'instruction, des instituts du pouvoir, des médias, des formations politiques et des organisations de la société civile peut amener au changement de la culture politique paroissiale sur participative, correspondante à une nouvelle structure politique du type démocratique qui contribuera à son tour y compris aux succès plus considérables de la République de Moldova à l'arène internationale.