Dans l’antiquité, les étrangers étaient considérés des barbares étant destinés d’une manière automatique à l’esclavage, sauf les cas quand les Etats concluaient dans ce sens des traités par lesquelles on accordait des dispositions spécifiques aux étrangers. La situation de l’étranger a beaucoup changé dans la période moderne, on a proclamé l’égalité en droits des étrangers avec les citoyens de l’Etat respectif. La condition juridique de l’étranger, d’après la doctrine, est formée de la totalité des normes juridiques de l’Etat dans lequel l’étranger se trouve, par lesquelles on détermine les droits et les obligations de l’étranger dans cet Etat, ce qui signifie la totalité des règles juridique concernant les étrangers, des règles qui déterminent leur condition. Cette condition intéresse la capacité de jouissance de l’étranger et est déterminée par la loi de l’Etat dans lequel celui-ci se trouve, ou avec la juridiction duquel celui-ci a des liaisons.