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902(478) (135) |
Arheologie (937) |
SM ISO690:2012 MUNTEANU, Octavian. Etapele de edificare ale fortificaţiei de la Horodca Mică. In: Tyragetia. Serie nouă, 2013, nr. 1(22), pp. 311-328. ISSN 1857-0240. |
EXPORT metadate: Google Scholar Crossref CERIF DataCite Dublin Core |
Tyragetia. Serie nouă | ||||||
Numărul 1(22) / 2013 / ISSN 1857-0240 /ISSNe 2537-6330 | ||||||
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CZU: 902(478) | ||||||
Pag. 311-328 | ||||||
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Rezumat | ||||||
La fortification Horodca Mică est située dans la zone centrale de l’espace pruto-dniesterien, aux environs des sources de la rivière Botna, et elle est devenue objet des recherches systématiques depuis 2006. Plusieurs des résultats obtenus depuis cette date on été publiés entre temps. On compte parmi ceux-ci une étude concernant les éléments défensifs de la forteresse, où l’on a mis en avant l’hypothèse d’une fortification par étapes, du promontoire, alternées
avec des destructions périodiques. Au départ, on avait plus insisté sur la première phase d’édification du système défensif, en décrivant ses éléments constitutifs, les techniques utilisées dans le processus d’édification, mais aussi l’évolution de la fortifiation même, jusqu’au dévastateur incendie qui a écroulé la construction défensive. Dans cet article on a repris le débat portant sur le système défensif. L’hypothèse sur laquelle on se fonde admet l’existence de trois autres phases de refortification du même espace, suite à la première destruction. Pour l’argumentaire
de ce point de vue on s’est proposé de présenter dans un premier temps, le tableau des observations objectives, enregistrées sur le terrain, et dans un deuxième temps, partant de ces observations, offrir une explication de la vision que nous avons construit. Cette analyse porte y compris sur les modalités d’édification du système
défensif dans chacune des phases identifiées, sur les techniques et matériaux utilisés, ainsi que des raisonnements concernant les repères chronologiques. On est donc d’avis que dans ces phases ultérieures de fortifi cation du promontoire, a été procédé de la même manière que dans la première : un fossé a été creusé (en réalité c’est l’ancien qui a été étendu en largeur), derrière
a été montée une palissade complexe, en bois (sur le sommet même de la vague constituée suite à l’écroulement de la construction de la phase précédente), remplie avec de la terre excavée du fossé. Dans la situation crée, la berme utilisée dans la première phase d’édification du système défensif, n’y trouvait plus sa place. Ainsi, on estime que la délimitation du fossé proprement-dit, depuis l’intérieur, doit être fi xée par rapport à la palissade. De cette manière, des barrières solides ont pu être créées, qui, dû à leurs dimensions impressionnantes, ont protégé à plusieurs reprises la population de ces espaces, dans les siècles V à III a. Chr. |
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