C’est un theme qui m’a intrigue. En fait, la Béssarabie c’est un pays des orphelins. Cela m’a motivé d’étudier avec plus d’attention le journalisme de M. Eminescou. J’ai pénétré le mot douloureux et je ma suis convaincu que nous, les béssarabiens, on a encore de grandes dettes envers le Génial Eminescu. On va évidentier les problèmes suivants: “La Béssarabie – terre roumaine” “L’histoire de la Béssarabie ce n’est pas un mythe” “Les passions de la Béssarabie en XVI- ième siècle” “Les grandes preuves de l’unité roumaine” “Les sources limpides de la Béssarabie” “Les frontiers se tirent avec le crayon rouge et s’écrivent avec du sang” “Le pays est en insomnie” Dans les articles de M. Eminescu sur la Béssarabie an a cinq siècles d’histore. Cette pensée on la devine et du contenu de la lettre écrite pour Véronique Miclé: „Le passé nous a fasciné toujours. Les cronique et les chansons populaires forment un matériel, duquel je cueille mes inspirations ”. M. Eminescu avait une profonde conscience nationale. Il était un vrai patriote. Dans son journalisme il a été un polémiste sans marges, qui a apporté des preuves incontestables.