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SM ISO690:2012 CIOCOI, Tatiana. Casa, orașul și singuratatea. Codurile alografice ale globalizării în romanele Nataliei Ginsburg. In: La Francopolyphonie, 2013, nr. 2(8), pp. 60-66. ISSN 1857-1883. |
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La Francopolyphonie | ||||||
Numărul 2(8) / 2013 / ISSN 1857-1883 | ||||||
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Pag. 60-66 | ||||||
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Rezumat | ||||||
Cette reherche est axée sur l’étude sémiotique de l’espace habitable et urbain dans les romans de l’écrivaine italienne Natalia Ginsburg. Dans l’univers idéatique complexe de la
prose ginsburgienne les termes « ville » et « foyer » qui vont former le titre antonomastique de son dernier roman. La città e la casa (1997) relève les signes de la « pensée faible »
postmoderne. La relation difficile entre l’appartenance à un « foyer» qui suppose l’enracinement dans une tradition de famille ou de culture et le transfert de l’individu à la
ville déracinée et desidentifiée est résolue par une synthèse exemplaire d’un monde fragmenté qui fonctionne comme un changement kaleidoscopique des séquences évenementielles, impressions, émotions et souvenirs de ceux qui autrefois formaient un foyer familial. C’est clair que l’auteur nous présente le scénario du déracinement humain énorme et irréversible dû à la perte du sens d’appartenance qui est imliqué dans le symbole du « foyer ». Le passage d’un personnage à l’autre, d’un style à l’autre, d’un foyer, d’un
mariage, d’un couple, d’un amour à un autre foyer, autre mariage, autre couple, autre amour illustre la parception de mosaique d’une déception cosmique, d’un itinéraire hésitant de la vie, devenue impossible. |
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Cuvinte-cheie foyer, ville, «pensée faible», communication, globalisation |
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