Promovarea politicii lingvistice în Republica moldova (1989-2007) realizări şi probleme
Close
Conţinutul numărului revistei
Articolul precedent
Articolul urmator
574 6
Ultima descărcare din IBN:
2023-06-14 23:51
SM ISO690:2012
ANTON, Ion. Promovarea politicii lingvistice în Republica moldova (1989-2007) realizări şi probleme. In: Analele Ştiinţifice ale Universităţii de Stat ”Bogdan Petriceicu Hasdeu” din Cahul, 2007, nr. 3, pp. 96-103. ISSN 1875-2170.
EXPORT metadate:
Google Scholar
Crossref
CERIF

DataCite
Dublin Core
Analele Ştiinţifice ale Universităţii de Stat ”Bogdan Petriceicu Hasdeu” din Cahul
Numărul 3 / 2007 / ISSN 1875-2170

Promovarea politicii lingvistice în Republica moldova (1989-2007) realizări şi probleme

Pag. 96-103

Anton Ion
 
Universitatea de Stat „Bogdan Petriceicu Hasdeu“, Cahul
 
 
Disponibil în IBN: 23 decembrie 2014


Rezumat

La législation linguistique a fait, après 1989, un pas important vers la réalisation culturelle de la République de Moldova. Elle a contribué au developpement de l’étude de la langue d’état. Par l’introduction de la langue officielle dans notre état, on s’est assumé pour la première fois la responsabilité pour le destin de la langue parlée de la population majoritaire. Le régime totalitaire soviétique, par sa politique économique et culturelle, a crée un grave déséquilibre linguistique dans le pays, jusque maintenant les relations linguistiques ont rencontré beaucoup de difficultés et de problèmes qui ont surgis de controverses. La situation s’est compliquée et si la renaissance nationale des minorités coїncide en temps avec celle de majorité, chacunes en demande des droits. La situation économique étant grave, un tel désir n’est pas difficile à réaliser. Dans la République de Moldova, le corapport minorité-majorité a une caractéristique à part. La minorité est associée, souvent, avec la population. Ayant la domination politique, au moins jusqu’aux éléctions de mars 1998, les représentants empêchent souvent la réalisation du droit de la majorité à l’identité, surtout le désir de ne pas étudier la langue officielle de l’état, cause pour laquelle, ils ont des difficultés à s’intégrer dans l’espace culturel et spirituel commun de l’état.