Dans cet article les auteurs ont essayé d ´arriver à certaines generalisations hypothétiques sur unes des plus controverses parties de la communication politiques - les Relations Publiques «noires» ou les relations publicques d‘alternative. Les auteurs traitent des exemples d’utilisation des Relations Publiques «noires» en proposant diverses technologies «sales». L’article propose aussi des cas d’application des technologies des Relations Publiques «noires» dans plusieurs pays - tels que les Etats Unis, Roumanie, France, Moldavie et aussi l’impacte de celles–ci sur l’image publique des leaders politiques. Les courses qui inspirent les Relations Publiques «noires» restent toujours la corruption, le non-respect des programmes politiques. Les technologies «sales» font leur apparition dans les dernières quinza- Ines de la campagne électorale. Dans certains cas les Relations Publiques «noires» sont lancées dans le contexte de certaine crise d’autorité et de prestige de l ´élite au pouvoir. Les Relations Publiques «noires» comportent aussi certains risques; elles peuvent causer l’effet bumerang, déceptionant l’électorat de l’acteur politique qui mise sur l’application des technologies «sales».